Chantier de ré-habilitation solaire d’une maison ancienne avec des capteurs solaires (murs Monville)
Coupe verticale :
capteurs-details-vert-sup1-1-2.pdf
capteurs-details-vert-inf2-1-2.pdf
capteurs-details-vert-inf1-1-2.pdf
Coupe horizontale
capteurs-coupe-hor1-10.pdf
capteurs-details-horiz-1-2.pdf
capteurs-coupe-hor1-10.pdfcapteurs-coupe-hor1-10.pdf
Vue de face
capteurs-facade1-25.pdf
Couverture en zinc d’un capteur posé contre un mur
couverture-zinc-capteur-verti-1-2.pdf
Lame d’air entre capteur et mur existant
Une lame d’air a une résistance thermique maximum pour une épaisseur de 20 à 25mm.
Au delà, les effets de convection de l’air vont contribuer à faire circuler des calories d’une face à l’autre de la lame d’air, et diminuer sa résistance thermique.
Cette résistance étant faible par rapport à la résistance du reste de l’isolation, ce n’est pas un problème.
Par contre, il faut veiller à ce que cet espace d’air soit bien isolé de l’extérieur, pour éviter des ponts thermiques qui court-circuiteraient l’isolation des capteurs. Il faut donc mettre de l’isolant sur toute la périphérie (latéralement) de ces espaces d’air ( laine de bois ou autre, épaisseur 80 - 100mm). L’air de la lame d’air doit être très faiblement ventilée par des orificesde diamètre 20mm, équipés de moustiquaire, en partie haute du capteur.
Enfin, il est possible d’améliorer la résistance thermique d’une lame d’air en modifiant le pouvoir absorbant (ou réfléchissant) de l’une ou des deux faces. Si les deux faces sont très réfléchissantes, la résistance thermique de la lame d’air est multipliée par trois.
Résistances thermiques des lames d’air
resistances-thermiques-lame-dair.pdf
Photos
en cours de montage
capteurs finis
capteurs finis
mur chauffant cuisine
mur chauffant salon